White Night

Les développeurs de White Night savaient exactement ce qu’ils faisaient. En produisant ce « survival-horror » clair-obscur, les français d’OSome Studio ont choisi de jouer sur la plus grande peur de l’homme : le noir.

White Night vous plonge ainsi dans une ambiance sombre et jazzy, dans l’imper d’un détective assez alcoolisé pour percuter un arbre et chercher de l’aide dans un manoir très mal éclairé, même pour les années 30. Malheureusement pour vous, cet endroit lugubre recèle bien plus de mystères et de secrets que son éclairage négligé et son absence d’habitants.

À vous de faire la lumière sur cette étrange affaire à l’aide de vos fidèles allumettes, qui vous garderont hors des ténèbres et assureront votre survie, physique et mentale, pendant quelques secondes… C’est déjà ça !

Evidemment, White Night n’est pas conseillé à ceux qui regardent encore sous leur lit avant de se coucher. Le jeu est plutôt fait pour les enquêteurs intrépides qui se fichent pas mal de ce qui se passe dans l’au-delà. Entre ombre et lumière, il vous faudra activer différents éléments du décor pour avancer dans votre enquête.

En fonction de l’angle de caméra, et donc de vos déplacements, les interaction se révèleront à vous tout naturellement et vous permettront de résoudre pas mal de casse-têtes, comme l’allumage de la cheminée ou l’ouverture d’une serrure récalcitrante.

Attention tout de même aux esprits qui hantent la bâtisse et se feront un malin plaisir à vous renvoyer au dernier « checkpoint » en cas de rencontre inopinée. Car ici, personne ne vous entendra crier…