Age of Wonders III

Plus qu’un jeu, une référence pour les amateurs de jeux 4X : eXploration, eXpansion, eXploitation et eXtermination. Des centaines d’heures plus tard, vous n’aurez toujours pas fait le tour de cet univers heroïc fantasy à couper le souffle. Idéal pour les néophytes.

Orques, Humains, Hauts-Elfes, Nains, Draconiens et Gobelins, si vous adorez tout ce qui est héroïc fantasy, vous allez plonger tête baissée dans Age of Wonders III. Ça tombe bien, c’est le titre idéal pour débuter dans l’univers des jeux 4X, un titre accessible (pour le genre) qui permet une action plutôt rapide.

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L’histoire débute ainsi :
Plusieurs siècles ont passé depuis le dernier conflit qu'a connu Athla, après plusieurs années d'entente cordiale entre les différentes races, les tensions se multiplient entre la “Cour Elfique” et la “Communauté”. Une ambassade est donc envoyée dans la Vallée des Merveilles afin d'éviter la guerre. Dans le même temps, au nord, Edward Portsmith, un Machiniste dans l'armée de la “Communauté”, va affronter le seigneur Oscar van Heldon, le dirigeant de la province rebelle de Brisska.

Tous sont manipulés dans l’ombre !

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Le gameplay est divisé en deux modes distincts : une partie stratégique et une partie tactique. Dans la partie stratégique, le joueur gère ses villes, construit et déplace ses armées, les utilise pour reconnaître les environs et explorer des temples perdus afin de trouver des ressources ou des pièces d'équipements qu'il pourra confier à ses héros, le tout sans oublier de gérer ses relations diplomatiques

Quand une de ses armées rencontre une armée ennemie, on bascule dans le mode tactique, où le joueur gère chaque unité de son armée et peut utiliser ses capacités spéciales.

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On vous conseille vivement de débuter par les deux campagnes proposées comme tutoriels.
Deux scénarios qui nous racontent des versions radicalement différentes du même conflit. D’un côté, les humains travaillent pour la paix et l’harmonie entre les races en les intégrant dans l’empire. De l’autre, les fiers et ancestraux elfes se battent pour la justice et l’indépendance en asservissant tous les peuples qui auraient l’audace de ne pas partager leur dégoût des humains.

La map est divisée en plusieurs niveaux reliés par des grottes. Une bonne trouvaille qui permet de prendre l'ennemi par surprise, ou, a contrario, de se faire, soi-même, piéger par une armée surgissant d’une bonne cachette. L'essence même du titre reste les affrontements contre une IA loin d'être stupide.

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Même dans les niveaux les plus bas, elle prend un malin plaisir à fuir le combat pour s'attaquer à vos villes reculées, quitte à les détruire, la fourbe ! Il vous faudra donc surveiller le moindre point le plus reculé de votre empire.

Pour finir, vous allez vous régaler avec les graphismes magnifiques du jeu, que ce soit sur la 2D de la carte générale ou en 3D sur les champs de bataille. Et on vous promet des centaines d’heures de jeu. Un jeu qui a une fin : lorsque le héros meurt et qu'il ne contrôle plus sa capitale. Triste fin…